Assurance voiture sans permis et assurance voiturette : ce que vous devez savoir

Assurance voiture

Tout véhicule qui roule la voie publique doit être assurée, quel qu'en soit le type, les voiturettes y comprises. Elles peuvent être conduites par des gens qui ne possèdent pas un permis de conduire en règle, mais la question de la souscription d’assurance est soulevée. Les utilisateurs de ce genre de véhicule doivent savoir qu’au moins, la garantie de base est obligatoire. À cet effet, les compagnies proposent des offres intéressantes parmi lesquelles les usagers peuvent choisir. À chaque situation correspondent une solution et une formule adaptée pour assurer une voiture sans permis (VSP).

L’assurance pour une voiture sans permis et voiturette

Au même titre que les contrats pour les véhicules classiques, l’assurance voiture sans permis se décline généralement en trois formules.

  1. La garantie responsabilité civile représente la souscription minimale obligatoire, couvrant les dommages causés à un tiers en cas d’accident. Elle est surtout indiquée aux voiturettes conduites occasionnellement, car les risques sont moindres dans ce cas.
  2. L’assurance intermédiaire est une formule plus évoluée qui offre des garanties supplémentaires. En plus de la couverture des dommages occasionnés à autrui, elle prend aussi en charge le vol, l’incendie ou le bris de glace. Néanmoins, toutes les offres ne sont pas identiques, raison pour laquelle il est important de bien s’informer sur les garanties suggérées par les assureurs. Cette formule convient aux véhicules qui circulent fréquemment sur la voie publique.
  3. L’assurance tous risques est la formule d'abonnement la plus chère, mais aussi la plus efficace dans la mesure où elle a une couverture plus étendue en cas d’incident ou d’accident. Il s’agit de la formule la plus adéquate pour un véhicule sans permis utilisé au quotidien.

Opter pour une voiturette ou une voiture sans permis est la solution adaptée après un retrait de permis, pareillement pour les personnes qui n’ont pas encore obtenu le leur. Cette alternative représente l’idéal, sauf en cas d’interdiction de conduite de véhicule motorisé.

Les conditions de souscription d’assurance voiturette ou voiture sans permis

Assurer une voiture sans permis au nom d’une personne qui ne détient pas ce document légal n’est pas possible. Les compagnies, comme lolivier.fr, proposent toujours une souscription au titulaire d’un permis de conduire dans l’entourage. Dans ce cas, cette personne est désignée comme étant le conducteur principal sur la carte grise du véhicule et aussi sur le contrat d’assurance. En fonction des accords conclus entre les deux parties, ce dernier peut se charger ou non du paiement des cotisations, tout comme l’autre personne peut s’en acquitter. Dans tous les cas, les deux intéressés doivent juste s’arranger entre eux puisque pour l’assureur, l’important est de recevoir les primes.
Le rôle du conducteur principal est important parce qu’il est impératif de présenter un permis de conduire valide au moment de la souscription du contrat d’assurance auto. Il doit choisir la formule qui lui semble adaptée à la situation. Des documents sont requis et le formulaire mis en avant par la compagnie est à remplir. L’attestation fournie par l’assureur peut être en versions numérique et physique.
Il est à noter qu’un jeune n’ayant pas encore obtenu son permis de conduire peut acheter un véhicule, mais l’assurance doit être inscrite sous le nom d’une personne disposant de ce document. Une telle disposition résulte du fait que tout véhicule motorisé, garé dans un garage, roulant sur les rues et les routes ou stationnant sur un parking peut être à l’origine d’un sinistre. Le cas échéant, l’absence d’assurance peut avoir des conséquences graves, d’autant plus que la responsabilité du propriétaire est engagée.

Le tarif de l’assurance pour une voiturette ou voiture sans permis

Les usagers sont libres d’opter pour la formule qu’ils pensent convenir à leur cas. Toutefois, il faut savoir que les cotisations pour les voiturettes peuvent être élevées par rapport aux primes des véhicules classiques. La cherté de la souscription s’explique par le risque important que représente le conducteur. En effet, quelle que soit sa situation, qu’il est encore jeune et n’a pas encore obtenu son permis, ou qu’il a fait l’objet d’un souci conduisant au retrait de cette pièce, le chauffeur n’est pas vraiment fiable vis-à-vis de l’assureur. Cependant, le tarif appliqué dépend de chaque compagnie. Il est tout à fait possible de trouver des garanties au bon rapport qualité-prix en procédant à une comparaison des offres.
Les primes d’assurance des voiturettes ne sont pas soumises au coefficient de réduction-majoration qui a un impact considérable sur le montant des cotisations. Les conducteurs des voiturettes ne sont pas concernés par la clause du bonus/malus. Ce système fait augmenter le montant de la prime de base en cas de sinistres, mais permet également de le réduire si aucun incident n’est survenu au cours de l’année précédente.



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